Historique
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Découvert au XVIème siècle, à l'intersection de quatre chemins. Il symbolise de façon schématique un temple, marque l'emplacement du cardo et du decumanus au niveau de l'agglomération. Chaque niche contenait peut-être la statue d'une divinité de la route et du voyage (Mercure, protecteur des voyageurs et des marchands ou Quadriviae, déesse des quatre chemins), ou tout simplement une lampe qui signalait le carrefour et l'agglomération de jour comme de nuit
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Bibliographie
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J. Rougier, Un autel de carrefour à quatre faces à Aoste (Isère), Actes du 93ème Congrès National des Sociétés Savantes, Section Archéologie (Tours 1968), Paris, Bibliothèque Nationale, 1970, p. 481-488. J.-P. Jospin, C. Laroche, (coll) F. Leyge, Aoste ville gallo-romaine, Patrimoine en Isère, Grenoble, 2001. (p. 19) J. Rougier, Aoste-la-Romaine, Approche archéologique d'un vicus gallo-romain, Saint-Etienne, 1988. (p. 41-46, III-1, Pl. HT II) B-as Rémy, J.-P. Jospin, Recherches sur la société d'une agglomération de la cité de Vienne, Aoste (Isère), R.A.N. 31, 1998, p. 73-89. (p.84-89)
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