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Historique
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Provient du Couvent des Ursulines de Dijon, où il était placé au parloir. Enlevé à la révolution (F. Devosge, 1794, fol. 120 n° 15). La toile n'a été cataloguée qu'à l'occasion du catalogue des peintures italiennes. Cette mauvaise copie, écaillée et crevée en deux endroits, est peinte dans des dimensions proches de l'original conservé à Hampton Court Palace, dans la Chambre d'Audience. Berenson (1957) donne la version autrefois dans la collection Cook (Richmond) à Francesco Vecellio. C'est aussi à ce peintre que Harold E. Wethey (1969) attribue le tableau londonien. Cet auteur signale (I, p. 175) sept copies ou variantes de la même composition, et précise que dans deux d'entre elles (autrefois dans la collection Cook à Richmond, et Riga, Ambassade d'Allemagne, dépôt de la Pinacothèque de Munich) le paysage, derrière sainte Catherine, est supprimé. Ce paysage est au contraire fidèlement respecté dans la toile de Dijon. Harold E. Wethey mentionne encore les deux tableaux d'Audley End (Angleterre) de la pinacothèque Ambrosienne de Milan (un peu différent) ; de la vente Lepke, Berlin, 4 juin 1912, n° 55 ; de la vente Sneider et Hanau, 20-22 mai 1913, à Francfort-sur-le-Main, n° 478, autrefois dans la collection Reimer à Berlin, et enfin la variante avec l'Enfant Jésus endormi autrefois dans la collection Guhl à Zurich. (Notice de Marguerite Guillaume extraite du "Catalogue raisonné du musée des beaux-arts : peintures italiennes", Ville de Dijon, 1980) ; en rapport avec : Vecellio, Le Mariage mystique..., Hampton Court, Vecellio (d'après), Le Mariage..., Richmond, Vecellio (d'après), Le Mariage..., Munich, Vecellio (d'après), Le Mariage..., Milan, Vecellio (d'après), Le Mariage..., Zurich
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catalogue - notice complète
