Domaine
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peinture
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Dénomination
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fragment ; panneau
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Titre
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La Vierge, saint Jean, deux saintes femmes et saint Dominique de Guzman
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Auteur/exécutant
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BORGONA Juan de
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Précision auteur/exécutant
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connu par les documents de 1495 à 1536
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Ecole
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Espagne
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Période création/exécution
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1er quart 16e siècle
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Genèse
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oeuvre en rapport
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Historique
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Malgré le groupement bien équilibré de la composition, ce panneau n'est qu'un fragment, la partie gauche d'une Crucifixion dont l'élément droit, La Madeleine, saint Pierre martyr, sainte Catherine de Sienne et la bienheureuse Marguerite de Hongrie, se trouve à Madrid, au musée du Prado, comme l'a établi A.E. Pérez Sanchez en 1968. La provenance de ces deux peintures n'est pas connue, cependant, la présence de quatre saints dominicains (saint Dominique, saint Pierre martyr, sainte Catherine de Sienne et la bienheureuse Marguerite de Hongrie) indique que cet ensemble a été commandé pour un couvent de l'ordre des Frères prêcheurs
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Matériaux/techniques
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peinture à l'huile, pin sylvestre
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Dimensions
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H. 134.5, l. 106
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Sujet représenté
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scène biblique (Pâmoison de la Vierge, saint Jean, sainte, saint Dominique de Guzman : Dominicain, lys) ; fond de paysage (rocher, feuillu)
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Lieu de conservation
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Paris ; musée du Louvre département des Peintures
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Musée de France au sens de la loi n°2002-5 du 4 janvier 2002
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Statut juridique
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propriété de l'Etat ; achat ; musée du Louvre département des Peintures
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Date acquisition
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1993
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Anciennes appartenances
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Neger Jean, Paris (antiquaire, 1965) ; Neger Mme Paulette J
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Numéro d'inventaire
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RF 1993-19
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Commentaires
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Plusieurs hypothèses ont été émises sur la reconstitution de cette Crucifixion : compartiment d'un retable (R. Longhi, 1965), composition tripartite (A E. Pérez Sanchez), puis l'examen technique approfondi des deux panneaux a permis de conclure à l'existence d'un panneau unique. Les réflectographies dans linfrarouge ont, en effet, révélé le dessin sous-jacent de deux éléments de draperie placés presque symétriquement (l'un au-dessus de l'auréole des deux saintes femmes sur le tableau du Louvre, l'autre au-dessus de la tête de la bienheureuse Marguerite de Hongrie sur celui de Prado). Ces tracés, qui n'ont pas été retenus par l'artiste au stade de l'exécution picturale, peuvent être interprétés comme des plis de la tunique de deux anges que l'artiste avait prévu de placer sous le bras de la croix selon l'iconographie traditionnelle des anges priant ou recueillant le sang du Christ. La disposition des personnages un peu écartée du centre semble indiquer que la croix était sculptée
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Bibliographie
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Musée du Louvre, nouvelles acquisitions du département des peintures, 1991-1995, Paris, 1996, p. 60-62
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Copyright notice
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© direction des musées de France, 1999
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Crédits photographiques
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© Réunion des musées nationaux - utilisation soumise à autorisation
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Demande de photographie et/ou de conditions d'utilisation
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Renseignements sur le musée
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Contact musée
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00000104437
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