Dossier
|
Recueils des Menus Plaisirs du roi
|
|
Inventaire par Jérôme de La Gorce, Centre André Chastel, UMR 8150 CNRS, Université Paris IV
|
N° notice
|
MP-00532
|
Série
|
Fonds de la Maison du roi sous l'Ancien Régime (sous-série O/1)
|
Cote
|
CP/O/1/3242/A
|
N° support
|
2
|
N° pièce
|
2
|
Analyse
|
Recueil des Menus Plaisirs du roi intitulé : " Recueil de décorations de théâtre receuillies par Monsieur Leveque, garde général des magasins des Menus Plaisirs de la Chambre du roy, Tom. V, Paris, 1752 ". Dessin de l'atelier de Jean Berain représentant l'accueil triomphal de Bellérophon, à la scène finale de Bellérophon (livret de Thomas Corneille et de Bernard de Fontenelle ; musique de Lully), tragédie en musique créée à Paris le 31 janvier 1679. Dessin à la plume, à l'encre noire et au lavis gris avec des traces de pierre noire.
|
Dates document
|
1705
|
Accès
|
Original non communicable (conservé en réserve de la section des Cartes et Plans)
|
Reproduction
|
tirage photographique; fichier numérique
|
Support
|
papier
|
Taille
|
h. 60,5 x l. 86,9 cm
|
Couleur
|
N
|
Technique
|
plume ; lavis gris ; pierre noire ; encre noire
|
Type de document
|
recueil ; album ; document figuré ; dessin
|
Noms de personnes
|
Berain, Jean (1640-1711) (dessinateur) (atelier de) ; Corneille, Thomas (1625-1709) (librettiste) ; Fontenelle, Bernard de (1657-1757) (librettiste) ; Lully, Jean-Baptiste (1632-1687) (compositeur) ; Vigarani, Carlo (1637-1713) (dessinateur - d'après) ; Levesque, Antoine Angélique (1709-1767) (garde général des magasins des Menus Plaisirs du roi)
|
Noms de lieux
|
Paris (France) -- Palais Royal -- théâtre
|
Mots clés
|
règne de Louis XIV (1643-1715) ; XVIIIe siècle ; Bellérophon ; opéra ; décor de spectacle ; architecture ; tragédie en musique
|
Notes
|
Les analogies évidentes avec le projet de Carlo Vigarani pour la même scène (Stockholm, Nationalmuseum, THC 610) confirment l'identification de la scène finale de Bellérophon. Cependant, les nombreuses corbeilles de fleurs qui ornent la balustrade centrale sont bien dans le goût de Berain. On peut penser que ce dessin date de la création de la tragédie en musique, en 1679, ou bien de sa reprise en 1705.
|